Il est nuit

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C’est l’heure, il est nuit, on ne perçoit plus un bruit
Une porte sur l’imaginaire s’ouvre, tu m’entraînes fou
Vers les forets vierges aux futaies de l’amour infini
Je tremble satisfait d’un infrangible bonheur si doux

Ne me réveille plus dans mon paradis ; O belle nuit
J’entends son soupir, non ce n’est pas fini
C’est l’heure, il sera nuit toujours, voilà que tu m’éveil!es

Je glisse dans la nuit a pas feutrés

Son cœur m'appelle ...

Isabelle Dubé